L’entrepreneuriat féminin : levier de l’amélioration du pouvoir d’achat des foyers congolais

La présente étude portant sur l’entrepreneuriat féminin part du constat selon lequel, la pauvreté de la RDC est caractérisée par le revenu mensuel très faible par habitant (moins de 2,15$ par jour) et non indexé ; revenu insuffisant pour faire face aux besoins primaires du foyer (dont le nombre moye...

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Main Authors: Francis MENGA MAYALA, Stéphanie BIMINA NGANDU
Format: Article
Language:English
Published: Chaire de Dynamique Sociale – Presses de l’Université de Kinshasa 2024-06-01
Series:Mouvements et Enjeux Sociaux
Subjects:
Online Access:https://mesrids.org/wp-content/uploads/2024/07/22_M.E.S.-134_vol_2_Article-Menga-et-alii.pdf
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author Francis MENGA MAYALA
Stéphanie BIMINA NGANDU
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collection DOAJ
description La présente étude portant sur l’entrepreneuriat féminin part du constat selon lequel, la pauvreté de la RDC est caractérisée par le revenu mensuel très faible par habitant (moins de 2,15$ par jour) et non indexé ; revenu insuffisant pour faire face aux besoins primaires du foyer (dont le nombre moyen est de 5 membres par ménage dirigé par un homme ou une femme) et tenir les deux bouts du mois. La place qu’occupe la femme dans cette société attire notre attention particulière de par sa contribution dans le renforcement de pouvoir d’achat et l’amélioration du bien-être du foyer. Ce qui suscite une préoccupation de détecter les barrières ou les entraves spécifiques à la promotion et au financement de l’entrepreneuriat féminin, source de la mobilité vers des meilleurs emplois ou transition dans les micros entreprises à valeur ajoutée plus élevée afin de subvenir aux besoins de leurs foyers. Notre démarche méthodologique nous a conduit à l’analyse documentaire et à l’enquête de terrain auprès d’un échantillon de 200 répondantes. Après analyse, nous avons abouti à la conclusion selon laquelle, la majorité des femmes entrepreneures sont pauvres et œuvrent dans le secteur informel, elles sont en besoin de financement pour booster leurs activités, la croissance de ces dernières est très difficile étant donné que la majorité entreprend juste pour subvenir aux besoins familiaux auxquels elles affectent la grande partie du revenu plutôt que dans la croissance de leurs activités.
format Article
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institution Kabale University
issn 2790-3095
2790-3109
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publishDate 2024-06-01
publisher Chaire de Dynamique Sociale – Presses de l’Université de Kinshasa
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