De Pâques à Pakinou ou le parallélisme de la célébration

Résumé: Selon la célébration et l’observance des rites, Pâques la fête chrétienne n’est pas réductible à Pakinou des Baoulé. En effet, Pâques est un fait purement religieux parce qu’elle magnifie Jésus-Christ, le nouvel agneau pascal qui se donne en holocauste pour que toute l’Humanité soit sauvée,...

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Bibliographic Details
Main Author: Vianey Eric KOUADIO
Format: Article
Language:deu
Published: CRAC, INSAAC 2024-12-01
Series:Akofena
Online Access:https://www.revueakofena.com/wp-content/uploads/2024/11/33-D14v05-19-Vianey-Eric-KOUADIO_371-386.pdf
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Description
Summary:Résumé: Selon la célébration et l’observance des rites, Pâques la fête chrétienne n’est pas réductible à Pakinou des Baoulé. En effet, Pâques est un fait purement religieux parce qu’elle magnifie Jésus-Christ, le nouvel agneau pascal qui se donne en holocauste pour que toute l’Humanité soit sauvée, alors que Pakinou se caractérise fondamentalement par ses aspects festifs, et surtout par son côté profane. Et même si la sociohistoire du peuple Juif a des similitudes et des correspondances avec celle du peuple Baoulé – ce qui expliquerait sans doute que Pâque/Pâques se convertisse en se transformant en Pakinou, donnant lieu à un certain parallélisme entre les deux célébrations –, l’on doit admettre une nette démarcation voire une différenciation entre les deux événements. Mots-clés: Pâques ; Pakinou ; parallélisme ; peuple Baoulé ; peuple Juif
ISSN:2706-6312
2708-0633